Richard Mille invente le ballet horloger

La RM 72-01 Chronographe Lifestyle Maison se place, selon Richard Mille, « à la croisée de la haute horlogerie, de la danse et de la musique ». Une merveille évidemment 100% #SoBARNES.

Chapeau bas. Richard Mille est certes un habitué des prouesses horlogères, mais la RM 72-01 Chronographe Lifestyle Maison joue dans un registre différent de ses aînées. Comme une valse, elle bat la mesure selon un rythme à trois temps mis en avant par trois chiffres, le 3, le 8 et le 11. Les aiguilles évoluent en cadence au sein de ces trois échelles de temps stylisées (bleu pour la petite seconde, orange pour les minutes, vert pour les heures). Le mécanisme, entièrement pensé et façonné dans les ateliers suisses de la marque, apparaît au travers d’un dos ajouré, Richard Mille oblige. Une merveille disponible en quatre versions, or rouge, titane et céramique blanche ou noire.

Cette nouvelle venue reprend bien sûr les codes esthétiques de la marque, elle présente au passage le premier chronographe flyback développé en interne : le flyback, ou « retour en vol », permet de remettre à zéro un chronométrage tout en en relançant un autre, en pressant/relâchant le poussoir de remise à zéro. En clair, une seule pression enclenche l’arrêt de la mesure, la remise à zéro et le lancement d’une nouvelle mesure. Une performance qui aura mobilisé une équipe pendant 30 mois chez Richard Mille !

Comment incarner, techniquement et artistiquement, un projet si ambitieux ? Richard Mille s’est tourné vers le chorégraphe Benjamin Millepied et le compositeur Thomas Roussel. Deux artistes qui s’appuient sur les traditions de leurs disciplines respectives pour en livrer des visions contemporaines :

 

Pour cette œuvre chorale, baptisée Within ; Benjamin Millepied est passé derrière la caméra, au milieu du désert de Joshua Tree, au cœur de la roche et du sable californiens. Dans ce décor d’absolu, les danseurs déploient une chorégraphique parallèle et cyclique qui égrène les secondes, associant avec intensité temps et espace.

À partir du sample du chronomètre de la montre, Thomas Roussel a pour sa part insufflé un tempo, un rythme musical à l’énergie brute et échevelée. Il enveloppe ce tourbillon de vitalité autour d’une musique des origines, répétitive et mystérieuse. Une composition interprétée par les 50 musiciens du prestigieux London Symphony Orchestra au sein du studio d’enregistrement de l’église St Luke’s à Londres.

Nous ne sommes pas loin, chez #SoBARNES, d’en rester sans voix. Et vous ?

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Infos : Richardmille.com

 

 

 

 

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