Rolex Lady-Datejust, les classiques sont éternels

Chaque saison amène son lot de nouveautés horlogères. En parallèle, quelques icônes perpétuent leur pouvoir d’attraction génération après génération. Il en va ainsi de la Lady-Datejust, une saga décryptée par SoBARNES.

Retour en 1957. Audrey Hepburn vient d’éblouir Hollywood pour son rôle dans Guerre et Paix, Françoise Sagan confirme son statut de météore du paysage littéraire, Pat Smythe a prouvé qu’une cavalière pouvait remporter une médaille olympique, Adele Simpson habille le tout New York à la tête de sa maison de couture. Hans Wilsdorf, le fondateur de Rolex, l’a bien compris : la femme moderne veut maîtriser son destin. Et donc son temps. C’est ainsi qu’il crée la Lady-Datejust, une montre féminine de petit calibre aussi fiable qu’une montre d’homme. Mine de rien, il s’agit de mettre en place de réelles innovations techniques pour garantir la certification chronométrique malgré le boîtier de taille réduite. C’est ainsi que naissent les classiques.

Adoptée d’emblée par des femmes qui ont atteint des sommets, la Lady-Datejust s’affiche au poignet des sportives de haut niveau et des artistes les plus influentes. Dans leur sillage, une nouvelle génération leur emboîte aujourd’hui le pas, qu’il s’agisse de la pianiste prodige Yuja Wang, de la golfeuse Annika Sörenstam, de la championne de tennis Garbiñe Muguruza ou de la biologiste Emma Camp. « Des femmes qui incarnent à leur manière la féminité contemporaine », estime Rolex.

La Lady-Datejust ne doit pas son statut d’icône au hasard. Déclinée depuis 1957 en de multiples modèles, couleurs et métaux, elle cutlive jalousement son ADN horloger, à commencer par son boîtier Oyster de 28 mm de diamètre étanche à 100 mètres, son mouvement à remontage automatique doté d’une réserve de marche de 55 heures et sa date instantanée avec loupe.

Et elle bénéficie d’une certification propre à Rolex, celle de Chronomètre superlatif. Qu’est donc ? La réponse en mode SoBARNESpedia :

La certification par le Contrôle officiel suisse des chronomètres (COSC) impose au mouvement des écarts quotidiens compris en -4 et +6 secondes. Ce qui paraissait un peu trop lâche à Rolex qui depuis 2015 ajoute sa propre certification, le Chronomètre superlatif. Il s’agit cette fois-ci de contrôler la montre terminée et non son seul mouvement, avec un écart quotidien maximum beaucoup plus exigeant, entre -2 et +2 secondes. Vous regarderez les Rolex d’un autre œil, maintenant !

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Infos : Rolex.com

 

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