Deux stars pour un sac, le Capucines signé Louis Vuitton. A vous de choisir votre camp.
Ce n’est sans doute pas un hasard de calendrier. En mars 2021, le sac Capucines s’affiche auprès de la James Bond girl Léa Seydoux, dont il partage les draps blancs entre angélisme et sensualité. Deux mois plus tard il apparaît au bras d’Emma Stone dans les premiers extraits du film Cruella, dont la sortie française est attendue le 23 juin.
Deux lectures radicalement différentes d’un sac aux allures de best-seller depuis sa présentation en 2013 :
Sous l'objectif du photographe Steven Meisel, Léa Seydoux, ambassadrice de Louis Vuitton, incarne la relation intime qui se crée entre une femme et son sac à main. En l’occurrence le Capucines modèle MM en cuir taurillon noir. Baptisée ainsi en hommage à la rue Neuve-des-Capucines – première adresse parisienne de Louis Vuitton en 1854 – ce désormais classique de la Maison mêle avec maestria les valeurs historiques de celle-ci, créativité, quête d’exception et excellence artisanale. Chaque sac nécessite en effet plus d’une centaine d’étapes de fabrication. Un savoir-faire remis sur le métier au fil des saisons, via des déclinaisons flirtant volontiers avec l’audace.
Dans le genre audace, nous nous réjouissons sans retenue à l’idée de voir Emma Stone en Cruella dans le film du même nom. Cette superproduction Disney s’intéresse à la jeunesse de l’héroïne diabolique des 101 Dalmatiens dans un univers swinging London aussi élégant que déjanté. La créatrice des costumes (doublement oscarisée) Jenny Beavan a en effet estimé qu’un Capucines apporterait au look de Cruella la touche parisienne qui lui manquait auparavant :
De même que l’on ne peut être Beatles et Rolling Stones à la fois, on ne peut être ange et démon. Quoi que…
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Infos : Louisvuitton.com
Photos ©Louis-Vuitton
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