Le D-Day du Brexit est le 29 mars 2019. Le compte à rebours est lancé. Du moins pour certains. Car ce n’est pas juste un concept, “Brexit veut dire Brexit” comme le titraient certains journaux internationaux, c’est à dire la sortie du Royaume-Uni de l’Union Européenne.
Des questions pertinentes à se poser pour organiser un retour, des réponses précises à apporter à toutes les interrogations de ces nouveaux expatriés que ce soient en termes de logements, d’écoles ou de démarches administratives.
On estime qu’il y a plus de 300 000 Français au Royaume-Uni (chiffre de l’ambassade de France à Londres, estimation janvier 2018). Tous évidemment ne sont pas sur le chemin du retour, mais le marché immobilier parisien ressent fortement ce mouvement qui ne fait que s’accélérer avec le chrono, comme le constatent les agences BARNES.
Un certain nombre de sociétés rapatrient leurs employés et, ou, ferment leurs bureaux londoniens. Ces ressortissants français rentrent pour des raisons professionnelles, mais certains aussi pour des raisons personnelles. Et le constat est là : un vent migratoire qui vient surtout de Londres et qui se dirige beaucoup vers Paris. Les agences BARNES sont ainsi très sollicitées aussi bien à Londres qu’à Paris afin de répondre aux demandes de ces futurs “impatriés” qui cherchent un nouveau logement, un nouveau quartier, pour recréer un “écosystème” qui répond à leurs attentes et leurs exigences.
Le moment de rentrer
Les Français résidents de la capitale londonienne ont souvent pris le temps d’attendre le résultat des élections présidentielles françaises avant de commencer à s’organiser. La stabilité de la France a donné confiance aux investisseurs. Maintenant, il est pour beaucoup, le temps de rentrer et de le faire dans les meilleures conditions.
Nos amis britanniques sont en pleines négociations (tendues) avec Bruxelles, tandis que les futurs résidents français ont une appréhension : se sentir un peu étranger dans leur propre pays. C’est un sentiment de dépaysement tout à fait normal. Les démarches semblent parsemées d’embûches, notamment administratives.
BARNES est souvent l’interlocuteur privilégié des “futurs-ex-patriés” pour alléger ce parcours et leur permettre de trouver leur futur domicile avant leur arrivée définitive.
Voici quelques conseils avisés :
En premier lieu, le consulat français à Londres vous aidera avec toutes les formalités administratives à accomplir. Une simulation interactive en ligne est à la disposition des citoyens français désirant rentrer en France.
Pour ceux qui ont déjà habité en France et plus spécialement à Paris, le retour peut sembler plus simple, car souvent le souhait de revenir dans son quartier de prédilection prime. Pour eux et pour les autres, les experts BARNES sont ultra qualifiés pour les aiguiller vers les meilleurs arrondissements, correspondants à leurs attentes et à leurs critères préférés.
Le réseau BARNES est fort d’une cinquantaine d’agences en France et 10 agences parisiennes spécialisées par secteurs. Frédérique Verrier-Pytel, Directrice de l’agence BARNES Paris XVI, nous confie d’ailleurs que les expatriés de retour du Brexit (et les autres) sont très demandeurs d’appartements dans le XVIème. Ils recherchent des grandes surfaces, des appartements familiaux à proximité des bonnes écoles. L'équipe BARNES du XVIIème arrondissement de Paris constatent également un afflux de nouveaux clients pour des appartements de 3 ou 4 chambres. Les quartiers prestigieux de la capitale sont très prisés. Les familles s’orientent vers les arrondissements avec des établissements scolaires réputés et élitistes.
À noter, les mairies sont une source précieuse de renseignements, et à utiliser sans modération. Un autre petit conseil précieux, l’inscription des enfants au Rectorat d’Académie est à considérer bien à l’avance du déménagement. Ce sera une question ainsi réglée qui permettra également aux conseillers BARNES d’orienter leurs recherches vers un secteur bien précis et d’être riche en propositions de beaux appartements parisiens.
Il est temps de quitter Big Ben pour la Tour Eiffel.
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